Les défenseurs de la jeunesse d’UNICEF Canada sont des activistes dévoués qui militent en faveur des droits des enfants et des jeunes. Découvrez comment ils amplifient les voix s’exprimant d’un océan à l’autre sur les enjeux qui leur tiennent à cœur.

Les défenseurs de la jeunesse d’UNICEF Canada


Clara Brown (elle), 16 ans
Merrickville (Ontario)

Je crois que la voix des jeunes créera un monde meilleur. Ceux-ci doivent participer à la prise de décision pour que leur avenir reflète leurs besoins et pour garantir le bien-être de la planète et de toutes les espèces. Mon parcours en matière de défense et de promotion des droits s’inspire des incroyables défenseurs de la jeunesse avec lesquels j’ai eu le privilège de travailler en tant que bénévole. J’ai vu à quel point les cœurs et les esprits qui travaillent ensemble peuvent être à l’origine de changements positifs partout dans le monde.


Jade Anne Buenafe (elle), 22 ans
Toronto (Ontario)

La défense des droits signifie faire la différence tant au niveau individuel qu’au niveau communautaire. Même si je ne parviens qu’à aider une seule personne à se faire entendre, je me sentirai accomplie dans mon travail. Je suis une défenseure de la jeunesse parce que je fais partie de groupes marginalisés et que j’ai connu ce que c’est que d’être vulnérable.


Jaelin Caverhill (elle), 18 ans
Moose Jaw (Saskatchewan)

Je suis une défenseure des droits de la jeunesse parce que je crois que l’on devrait toujours s’efforcer de laisser les choses en meilleur état qu’on les a trouvées. Compte tenu des nombreux problèmes urgents auxquels le monde est confronté à l’heure actuelle, il existe de nombreuses occasions de changer les choses afin de créer un monde meilleur, plus équitable, plus durable et plus solidaire.


Olivia Olivia Gillespie (elle), 16 ans
St. Catharines (Ontario)

Le fait de défendre une cause me donne l’occasion de m’exprimer au nom de ceux qui ne disposent pas des mêmes avantages ou des mêmes ressources que moi. Cela me permet de lutter pour la justice sociale et l’égalité, et d’œuvrer en faveur d’une société plus juste et plus inclusive. Je suis motivée par l’idée de faire une différence et de contribuer à créer un monde meilleur pour les générations futures.


Emriel M. (il/iel), 22 ans
Toronto (Ontario)

Je suis un défenseur de la jeunesse parce que je suis confronté à des obstacles et que je constate que des problèmes subsistent à l’insu des autres jeunes. Je veux éduquer pour libérer. Les jeunes méritent de connaître le raisonnement systématique qui sous-tend leur réalité et de savoir comment ils peuvent l’améliorer grâce à l’engagement civique et aux actions politiques.


Fatemeh Matin Moradkhan (elle), 23 ans
Coquitlam (Colombie-Britannique)

Je crois sincèrement que les personnes qui sont assez audacieuses pour penser qu’elles peuvent changer le monde sont celles qui y parviennent. Je pense que je suis suffisamment déterminée pour faire partie d’une équipe dont l’objectif consiste à changer le monde pour le meilleur. Je crois que tout changement positif commence par la sensibilisation et l’éducation des gens aux problèmes existants. Je suis convaincue que le monde est tributaire de ce que nous choisissons de faire en tant qu’êtres humains, et j’ai choisi de vivre une vie empreinte d’une vocation.


Blanche Monabeka (elle), 23 ans
Surrey (Colombie-Britannique)

Les droits des enfants ont toujours suscité en moi une grande passion. Petite, je ne comprenais pas que d’autres ne soient pas traités de la même manière que moi ou ne reçoivent pas la même éducation. Mon combat consiste depuis toujours à militer en faveur de chaque enfant pour qu’il se sente écouté et soit vu dans ce monde, et pour qu’il obtienne les mêmes chances que ses pairs. Nous, les jeunes, sommes l’avenir de notre pays et du monde, et nos voix doivent être entendues.


Karel Nelson (il/iel), 17 ans
Ottawa (Ontario)

Je veux rendre le monde meilleur. J’aime la nature et ce qu’elle me fait ressentir, et je veux faire en sorte que les générations à venir puissent elles aussi en profiter. Passionné de films, de livres et d’autres formes de médias, je souhaite rendre le plaidoyer en faveur du climat plus accessible par le biais de la vidéo et de l’écriture.


SunMin Park (elle), 22 ans
Moncton (Nouveau-Brunswick)

Les expériences que j’ai vécues en grandissant m’ont aidée à trouver ma voix. Elles alimentent ma volonté de faire bouger les choses. Je ne me suis jamais sentie autant dans mon élément. J’espère continuer à partager et à réaliser ma passion et mon dévouement en tant que défenseure de la santé des jeunes en faisant carrière dans la médecine et la santé publique. Je veux être un catalyseur de changements positifs afin d’améliorer l’accès à des soins de santé de qualité, sûrs et inclusifs pour tous.


Oswaldo Andrés Paz Flores (il), 17 ans
Montréal (Québec)

Je crois fermement que chacun d’entre nous, en tant qu’individu et membre de la communauté, doit se mobiliser pour induire le changement qui nous tient à cœur et dont nous avons besoin. Nos valeurs doivent être représentées. C’est en élevant la voix et en faisant le travail que nous y parviendrons. Je suis passionné par les questions sociales et environnementales et je souhaite œuvrer vers un avenir durable.


Mihir Mihir Rao (il), 15 ans
Calgary (Alberta)

Je ne suis pas du genre à rester silencieux lorsque je constate la nécessité d’un changement, mais plutôt à défendre ce que je crois être juste. Le plaisir que j’éprouve à parler et à collaborer avec des jeunes partageant les mêmes idées pour parvenir à une solution qui tienne compte de tous les points de vue constitue un facteur déterminant dans mon parcours de défenseur des droits de la jeunesse. Je suis convaincu que l’unité se trouve dans la diversité et je m’efforce de continuer à exprimer mes idées et d’élargir ma propre vision du monde en m’exposant à des personnes et à des perspectives différentes.


Reeana Tazreean (elle), 20 ans
Calgary (Alberta)

Je pense qu’il est absolument nécessaire de faire en sorte que les jeunes aient une place à la table et participent à la prise de décision. Je suis une femme de couleur appartenant à un groupe minoritaire, et j’ai une expérience vécue de la résolution de problèmes comme ceux liés à la santé mentale. J’ai étudié la santé et la société et j’ai travaillé en tant que bénévole dans le domaine de la défense de la justice sociale. C’est pourquoi je pense pouvoir apporter différentes perspectives aux groupes de défense des droits. Ce qui me motive dans mon travail d’activiste, c’est de constater que des changements réels se produisent et de voir des idées se concrétiser. 


Katie Yu (elle), 16 ans
Iqaluit (Nunavut)

Je suis une militante parce que je veux contribuer à résoudre les problèmes qui affectent le bien-être des autres, en particulier la justice climatique, la santé mentale et la justice raciale. Même si nous ne parviendrons jamais à un monde parfait, il est essentiel d’œuvrer en faveur d’une société où les discriminations sont moins nombreuses, où les pires effets du changement climatique sont évités et où les services de santé mentale sont plus accessibles. Il est important que les jeunes aient leur mot à dire sur les questions qui les concernent et sur leurs droits, et que leurs opinions et leurs expériences soient prises en compte dans le cadre du processus décisionnel.