Apprenez-en plus sur le travail de l’UNICEF et le sujet suivant : Rohingya.

Au Bangladesh, le confinement décrété à l’échelle nationale augmente le risque de violence sexiste pour les femmes et les filles rohingyas et bangladaises.

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Les enfants et les jeunes rohingyas sont de plus en plus démunis face à l’absence de possibilités d’éducation dans les camps de réfugiés. Sans accès à une éducation et sans occasions de développer leur potentiel, des milliers de Rohingyas risquent de devenir une génération perdue.

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Bien que nous serions ravis de souligner tout le dur labeur des employés, bénévoles et partenaires de l’UNICEF cette année, un billet de blogue ne suffirait pas à la tâche. Nous nous contenterons, ensemble, de revenir sur certains des moments marquants de 2018.


Crise des Rohingyas: il y a un an aujourd’hui, des enfants malades, épuisés et ayant désespérément besoin d’eau potable, de nourriture et de protection ont commencé à affluer massivement dans les camps de réfugiés rohingyas du Bangladesh. Le combat de ces enfants se poursuit, comme le montre les photos présentées dans cet article.


Les conditions de vie des femmes enceintes dans l’un des plus grands camps de réfugiés au monde restent dramatiques, notamment pour les victimes de violences sexuelles.


Pour les enfants pris au piège dans des zones de conflit partout dans le monde, 2017 a été une « année cauchemardesque ».


Au Bangladesh, Kismat Ara est venue au monde dans un camp pour personnes réfugiées qui ont fui la violence au Myanmar.


Nous avons invité trois photographes et réalisateurs qui se trouvent à Cox’s Bazar pour nous parler de la situation désespérée dans laquelle sont coincés les enfants.


Des scènes qui dépassent l’imagination.