L’UNICEF œuvre dans 190 pays, partout dans le monde : résumer tout le travail que nous avons réalisé en 2018 est donc une tâche difficile!

Bien que nous serions ravis de souligner le dur labeur de tous les employés, bénévoles et partenaires de l’UNICEF cette année, par souci de concision – et de temps, avant d’entamer l’année 2019 – nous nous contenterons, ensemble, de revenir sur certains des moments marquants de 2018.

(Nous vous invitons également à consulter notre blogue si vous voulez en apprendre davantage sur le travail réalisé par l’UNICEF en 2018.)

Offrir aux enfants du Soudan du Sud une chance de vivre

En 2018, l’UNICEF et ses partenaires ont mis en œuvre une initiative au Soudan du Sud visant à éliminer le tétanos maternel et néonatal, notamment en formant les travailleuses et travailleurs de la santé et les mères relativement aux saines pratiques d’accouchement. Bien que plusieurs nouveau-nés aient été sauvés par ce travail de sensibilisation, beaucoup trop d’entre eux continuent de mourir dans leurs premiers jours de vie de causes qui auraient pu être évitées. Lisez le billet de blogue complet pour découvrir la difficile réalité des nouveau-nés et de leur mère à Djouba, la capitale du Soudan du Sud.

 

Soudan du Sud sage femme parle avec une mère
[© UNICEF/UN0159224/Naftalin]

Ça fait mal, mais c’est efficace!

Les vaccins protègent les enfants contre les maladies et évitent de nombreux décès puisqu’ils sauvent jusqu’à trois millions de vies par an. Pourtant, des millions de jeunes enfants dans le monde n’en bénéficient pas. L’UNICEF aspire à bâtir un monde où aucun enfant ne perdra la vie en raison d’une cause évitable et où tous les enfants réalisent leur plein potentiel. C’est pourquoi l’UNICEF est sur le terrain dans 190 pays et vaccine chaque année des millions d’enfants. Lisez le billet de blogue complet pour savoir comment l’UNICEF vient en aide aux enfants vulnérables dans les endroits les plus reculés de la planète. En savoir plus

Jeune fille vaccinée à Aruba
[© UNICEF/UNI119858/LeMoyne]

Les enfants oubliés du Kasaï, en République démocratique du Congo

Lors d’un conflit, l’éducation est souvent le premier service interrompu et aussi souvent le dernier à être rétabli. Or, l’éducation rend les enfants plus autonomes et leur permet de vivre mieux et de connaître leurs droits. Elle leur permet d’envisager un avenir prometteur, prospère et pacifique. C’est un lieu de refuge où les enfants peuvent trouver le réconfort nécessaire pour guérir de leurs traumatismes et se bâtir un avenir meilleur. En 2018, l’UNICEF s’est appliqué à fournir aux enfants de la République démocratique du Congo un accès à l’éducation et du soutien psychosocial. Lisez le billet de blogue complet pour en apprendre davantage sur les efforts en cours. En savoir plus

Des enfants assis dans un centre d’apprentissage temporaire en RDC
[© UNICEF/UN0162330/Tremeau]

Les enfants rohingyas ont fui la persécution, mais ils ne peuvent pas fuir la saison des moussons

Pendant plusieurs semaines au cours de l’été 2018, des dizaines de milliers de familles de réfugiés rohingyas se sont préparées à l'arrivée de la mousson, en renforçant les abris, en creusant de nouvelles latrines, en creusant des canaux pour les inévitables torrents et en se réinstallant sur des terres plus élevées. « Des masses de gens ont dû se déplacer très rapidement », a noté Martin Worth, le directeur de la section eau, assainissement et hygiène de l'UNICEF.

« Ils vivent maintenant dans de frêles petites cabanes qu’ils ont plantées dans des endroits surélevés. Ces cabanes sont recouvertes de simples bâches en plastique pour les protéger du vent et de la pluie. Les gens vivent dans des conditions de surpeuplement. » Lisez le billet de blogue complet pour en apprendre davantage sur le travail de l’UNICEF auprès des réfugiés rohingyas au Bangladesh. En savoir plus

 

Enfants dans les camps de Cox's Bazar
[© UNICEF/UN0213974/Sokol]

8 choses à savoir sur la crise au Yémen

La guerre au Yémen sévit depuis cinq ans. À l’heure actuelle, l’attaque contre la ville portuaire d’Hodeïda, située près de la mer Rouge, met en danger la vie des centaines de milliers d’enfants qui y vivent. La survie de millions d’autres dans le pays dépend des fournitures humanitaires et commerciales qui transitent chaque jour par ce port.

La guerre a fait du Yémen « un véritable enfer pour les enfants ». Lisez le billet de blogue complet pour en apprendre davantage sur les efforts déployés par l’UNICEF pour fournir une assistance vitale aux enfants yéménites. En savoir plus

 

Une petite fille à Hodeïda
[© UNICEF/UN0209184/Bafaqeh]

7 raisons pour lesquelles les migrants fuient l’Amérique centrale

Pourquoi des milliers d’enfants, de jeunes, de parents ou de familles entières fuient-ils leur foyer, risquant ainsi leur vie pour entreprendre un voyage vers le Mexique ou les États-Unis? En tirant au clair les causes profondes de la pauvreté et de la violence en Amérique centrale, nous sommes en mesure de mieux comprendre les raisons pour lesquelles tant de migrants quittent leur pays. Lisez le billet de blogue complet pour avoir un bref aperçu de la vie de millions d’enfants vulnérables et de leur famille dans certaines parties de l’Amérique centrale, et des efforts de l’UNICEF pour leur venir en aide. En savoir plus

 

garçon de 10 ans au Honduras
[© UNICEF/UN076689/Amaya]

Séisme en Indonésie : seulement certains enfants à Sulawesi sont de retour à l’école

À la suite du séisme et du tsunami qui ont frappé l’île de Sulawesi, en Indonésie, en octobre 2018, plus de 164 000 étudiantes et étudiants – d’âge préscolaire à secondaire – sont déscolarisés et au moins 1 185 écoles sont directement touchées. De nombreuses écoles dans la région sont encore fermées et les partenaires de l’UNICEF sont déterminés à aménager des centres d’apprentissage temporaires pour les étudiantes et les étudiants. Lisez le billet de blogue complet pour en apprendre davantage sur le travail de l’UNICEF en Indonésie après le séisme à Sulawesi. En savoir plus.

Une famille prend la pose dans un abri temporaire
[© UNICEF/UN0250142/Veska]

« Je priais en marchant » : la malnutrition en République centrafricaine

« La situation pour les enfants qui vivent en République centrafricaine empire de jour en jour. Bon nombre d’enfants sont privés de services en raison des combats et de l’insécurité, les familles ne peuvent pas cultiver la terre et les enfants n’ont rien à manger. De plus, le seul hôpital pédiatrique dans l’ensemble du pays est surchargé. Les enfants comme Pierre, qui sont sévèrement dénutris mais qui ont accès à des services de santé, sont les plus chanceux. C’est une réussite douce-amère de voir Pierre sourire à nouveau parce que trop d’enfants à travers le pays ne sont pas en mesure d’obtenir les soins dont ils ont désespérément besoin. » Lisez le billet de blogue complet pour en savoir davantage sur la situation actuelle en République centrafricaine et sur ce que vous pouvez faire pour aider. En savoir plus

Un petit garçon dans un centre de santé
[© UNICEF/UN0248775/Le Du]

Le travail continu

Depuis plus de 70 ans, l’UNICEF s’efforce à améliorer la vie des enfants et de leur famille, travaillant sans relâche dans les endroits les plus durs de la planète afin de venir en aide aux enfants les plus vulnérables et défavorisés. Notre détermination est motivée par les retombées concrètes de nos efforts pour les enfants et les jeunes, et nous n’avons aucunement l’intention de ralentir nos ardeurs.

Nous remercions nos précieux donatrices et donateurs pour tout ce qu’ils ont fait pour UNICEF Canada en 2018. Nous vous invitons à vous joindre à nous pour souhaiter nos meilleurs vœux à tous les enfants du monde. Santé et bonheur pour la nouvelle année 2019.